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25 novembre, mercredi après-midi, la fraîche revue municipale de décembre était envahissante en mairie.
Elle s'invitait dans les mains des élus en commission, s'empilait, débordait des présentoirs.
D’un œil, rien de neuf.
Toujours une piteuse place et présentation pour la tribune libre des élus de l'opposition, toujours nauséeusement et largement commentée.
Qu'un député-maire ait peur de son opposition à ce point, c'est bien qu'il doute de sa vérité...
Dans les 2 centimètres de haut, place impartie pour la tribune libre -caractéres microscopiques:
- La droite se plaint de ne pas pouvoir avec 142 signes s'exprimer! Rien pour le PC, avec 71 signes l'élue s'est probablement abstenue...
Interpelé donc sur cette parodie de droit d'expression, le maire se plaint d'attendre après une procédure qui le contraint : "soumis à la longue et pénible attente des procédures judiciaires"
Ben voyons ...
- Les élus "Aimer Ma Ville ont fait un parallèle édifiant avec ses propres critères d'analyses1 sur les subventions en monnaie sonnante et trébuchante aux associations. Exercice difficile en 214 signes!
Il répond , dénigre en bloc modifiant ses chiffres, ceux de ses parutions, ceux des comptes administratifs, inclue même des dotations en nature gonflées, considére de surcroit comme une associations un établissement public communal le CCAS.(ce dernier fait, trompe le lecteur et multiplie par 2.3 la subvention rien que ça!)
Ben voyons...
La peur de la vérité, de la réalité est un bien mauvais maître dont il est impossible de se défaire...
Avec cinq jours d'avance élection oblige: Les piles de la revue de décembre sur les présentoirs en mairie font impressions
1 Pour mieux comprendre notre tribune libre et la mauvaise foi du commentaire royal
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