Madame,

Pour répondre à votre courriel, je tiens à vous préciser que toutes les réponses à vos interrogations concernant les subventions allouées au centre social demeurent inscrites dans les délibérations votées en conseil municipal.

Cordialement, GORSE Bastien.

Sans se décourager les élues ont réitéré leur questionnement, le jour même 01/04/2019 à 10h

Voir  leur message plus bas¹ . Elles en attendent toujours la réponse.

Ce-jour nous apprenons que la mairie a organisé hier une réunion "pré-électorale" dans le quartier et a de nouveau assuré de son soutien l'association, la population, (lequel puisque il refuse de nous le préciser)  tout en mettant en cause la CAF en ce qui concerne les déboires du Centre Social.

Trop c'est trop les élues ont décidé d'écrire à la CAF.

1 Courriel en réponse à la missive de BASTIEN GORSE du 01/03/2019

Monsieur le maire d'Orange,

En ce qui concerne notre demande d’informations sur les subventions versées au titre du contrat de ville au centre social Pierre ESTEVE, vous venez de nous faire parvenir ce que j'appelle une fin de non-recevoir. cf votre mail réponse ci dessous

Non les réponses à nos questions ne sont pas inscrites dans des délibérations. Lesquelles d'ailleurs?

Nos questions étaient pourtant claires et simples.

Pour résumer:

Quelles sont les sommes versées au centre social durant les années 2015,2016,2017,2018? Quand? Date ou dateS s’il y a fractionnement du versement et raison s’il y a lieu de ce fractionnement? Est-ce que le total correspond aux engagements pris dans le contrat de ville? Si non pour quelle raison?

Monsieur le maire, il nous semble bien simple de justifier les versements de subventions au centre social d'autant que vous avez signé un contrat de ville pour accompagner ce centre social. Ne pas répondre et éclaircir la situation, nous semble tout simplement suspect. N'ont-ils pas été faits? Votre protocole mis en place est-il là l'origine des difficultés le centre social?

Devons-nous interroger l’État, le préfet, le département, la CAF pour connaitre la réalité?

Nous ne pouvons pas interroger l'association, nous avons bien compris que la pression que vous exercez leur interdit tout contact avec nous... (cf  la lettre de la présidente, reçue lors d’une précédente intervention sur sujet que nous avions faites sans même l'avoir rencontrée).

Aussi nous insistons et vous demandons de bien vouloir reconsidérer votre réponse. Notre demande étant par ailleurs totalement légitime, et conforme à notre constitution.

Merci par avance,

Bien respectueusement,

Les élues AIMER MA VILLE.