Nous le dénonçons les procédures s'enchainent à Orange pour bien souvent des peccadilles.
Il s'agit pour l'édile de faire peur, faire en sorte que les Orangeois, les opposants s'autocensurent ou bien enlever toute velléité à quelques administrés malmenés qui aurait pu contester quelque peu la politique ou une décision...
Dans ce registre ces procédures semblent ne plus leurrer les tribunaux, par ailleurs saturé de leur succession quasi ininterrompue.
Ainsi le 7 septembre le tribunal correctionnel de Carpentras n'a pas suivi le maire d'Orange Jacques Bompard, qui avait porté plainte pour diffamation (un classique) contre Marion Maréchal-Le Pen .
C'est que cette dernière avait osé après l'annulation des élections sur le canton d'Orange de mars 2015 dans une déclaration à propos de utilisation de machine à voter le mot " bidouille" Le maire d'Orange - "maire" bien sûr car dans ce cas c'est nous citoyen qui réglons la note des avocats et l'amande- estimait ce terme diffamatoire car mettant en cause sa responsabilité d'organisateur donc sa probité et son honneur...
Euh vu tous les termes qui se sont échangés durant cette campagne et tous les noms d'oiseaux que ce monsieur emploi lors des conseils à l'encontre des élues d'opposition...,cela nous a fait doucement rigoler
Et bien pas le tribunal qui a estimé lui qu'on se payait de sa tête et de son temps à des fins politiciennes. Il a donc condamné le maire à verser à Mme Maréchal Le Pen 5000 € pour procédure abusive.
A combien nous revient donc le caprice?
Nous ne le saurons pas...mais c'est déjà beaucoup trop. Sans compter le cumul de tous les autres...