Ah ben ça, elle est bien bonne celle là!

La newsletters de la ville se paie une campagne de promotion sur fond de:

1. "Ne ratez plus aucune actualités..."
2.  Promesse d'information hebdomadaire

Mais quel culot, de jouer avec les moyens municipaux en période de campagne municipale!

En plus c'est risqué!

"Les élus ont tout intérêt à être particulièrement attentifs au respect des règles de communication pendant la période qui va s’ouvrir le 1er septembre, parce que leur non-respect peut entraîner l’annulation de l’élection."

Du reste depuis que la newsletters existe elle a une périodicité au mieux de 15 jours. Les interruptions et reprise de publication, la qualifie bien plus que la régularité.  cf cet article en lien sur ce blog "Newsletters la revoilà" qui expliquait l'étrangeté de ces publications extrait . "La  newsletter de la ville d'Orange vient de réapparaitre. Là aujourd'hui 7 septembre 2018...La dernière datait du 23 février 2018..."

ou celui ci du 23 juin 2016. Une revenante la newsletter

Notons que le site de la ville n'archive plus ces Newsletters... l'onglet dédié reste avec la note "à construire" depuis plus d'un an.

Alors le 1er Aout par un post sur le Facebook la ville annonce que la publication serait hebdomadaire.

D'une part il y a donc franchissement d'une ligne rouge si cela s'avère exact par la suite, d'autre part nous sommes le 8 et rien n'a été publié.

En plus c'est faux:

Et oui y a qu'à prendre acte avec la dernière. Ces newsletters ne parlent pas que d'événements à ne pas rater, d'info à ne pas rater. Mais divulgue aussi des "réinformations" (un terme usité par un milieu d'initiés spéciaux), des communiqués de presses, des droits de réponses,... le tout n'entrant pas du tout dans le domaine de la saine et normale information du citoyen, ou de l'intèrêt général, mais relèvent bien plus de la polémique et de positions politiciennes douteuses du président du parti politique local LDS.

Ensuite ces newsletters sont bien loin d’être exhaustives en terme d'infos ou d'événements. Ce fait parachève le tableau du bon prétexte à une communication politique. Et oui l'équipe en place essaie de continuer à profiter allégrement des moyens municipaux à des fins de promotion du maire sortant. Ce que bien sûr la loi interdit formellement à partir du 1er septembre.