Depuis quasi un quart de siècle la ville s'est enlisée dans une mélancolie, une passive résignation et subit la mortifère peste brune, l'oligarchie Bompardienne. Ah oui "y a pas d'opposition"? Mais c'est une négation violente de ceux qui essaient et invitent à faire, par ceux n'agissent pas ou guère tout en cherchant à se dédouaner de leur passivité. Oui ce n'est pas facile, oui c'est épuisant et on comprend ceux qui se sont épuisés, oui, il faut du temps, des moyens, des têtes pour être un minimum audible...Et non ce n'est pas un jeu occupationnel plaisant.
Le pouvoir d'agir dans notre démocrature est certes bien limité.
Mais il existe un jour tous les 6, 7 ans où il ne faut pas se louper. Pour notre commune c'est les 15 et 22 mars prochain..
Les membres d'Orange Autrement, après avoir appelé à un grand rassemblement de premier tour pour les prochaines élections municipales, fidèles aux buts fondateurs de cette association, restent sur le pont avec ce même objectif. Ils encouragent l'ensemble des listes en place à garder raison pour le second tour.
Les élues Aimer Ma Ville groupe de la minorité municipale issu des élections de 2014, viennent d'envoyer leur toute dernière tribune pour la toute dernière revue Arrange Vérité de l'oligarchie en place depuis 1995.
L'édile de la commune un patriarche sous le coup d'un jugement en appel pour prise illégale d’intérêt prétend mener sa dernière bataille à 77 ans (84 à la fin du mandat) pour sans nul doute laisser le navire au dernier de ses fils. Celui qui officie, s'ingère impunément depuis 2012 du vaste bureau d'attaché parlementaire procuré par papa et qu'il occupe en mairie pour la somme symbolique de 250 euros ...
Alors assez.
Voici l'appel à voter des élues AIMER MA VILLE,
et que le second tour nous trouve tous uni pour qu'enfin sorte de sa boue Orange.
Cette tribune a été envoyée , avant midi ce 7 février, soit moins de 48h après l'appel à la produire. Car nous connaissons trop les travers de cette famille qui a tôt fait de vous jouer de vilain tour. Forte de l'impunité que reçoivent les coups tordus politiciens auprès des tribunaux, et/ou de l'indifférence auprès de la population. Population si malmenée qu'elle ne fait plus la part des choses et ne voit là que du pareil au même.