A Orange misère la TEOM a quasi doublé passant de 7,65 % en 2015 à 14,40% en 2021... Et le champion de la victimisation, le maire président de la CCPRO, champion des pseudo baisses d'impôts d'expliquer tranquille à la séance de l'interco d'hier 8 avril 2021, 16h -19h : "Ce n'est pas un impôt mais une taxe". Soit mais expliquez-nous donc la différence de terminologie ? In fine c'est le même portefeuille paie? Pas tout à fait pour Jacques les pauvres sont trop déresponsabilisés en ne payant pas l'impôt... La taxe est un moyen de les faire "participer à l'effort! Si c'est gratuit ça n'a pas de valeur" patin couffin...
Ce dernier dossier du conseil a donné lieu à un exposé fouillé de la part de l'opposant Gilles Laroyenne, quelles interrogations, des explications fort lacunaires, des dénégations mais aussi d'une longue prise de parole futile peu constructive du fils qui ainsi en a perdu une occasion de se taire et une bonne partie de l'estime des élus des villages, un peu éberlué par son indécence.
Fabienne HALOUI déplorera que cette taxe justement touche tout le monde du pauvre au plus aisé. Gilles Laroyrenne lui défendra l'idée d'une tarification à la pesée dans le but d'inciter à plus trier et réduire ses déchets résiduels. Dans le style le meilleur déchets c'est celui qui n'existe pas. De plus, il a décrié le projet de la CCPRO mettant en doute qu'in fine le procédé incite à réduire les déchets. Pour lui tout au contraire nous nous acheminons vers un procédé pas très clair, dont la mise en route d'un incinérateur. Et qui dit incinérateur dit aspirateur à déchets, style ogre insatiable qui incite à la production de déchet et/ou attirera à Orange une noria de camion poubelle.
Père et fils se sont fait un malin plaisir de démentir l'édification in fine d'un incinérateur, moquant copieusement l'élu qui n'aurait rien compris. Là, nous nous disons nous qui avons subit les même procédés, voilà la parfaite illustration de la méthode Bompardienne: ne pas informer du projet puis se gausser copieusement des incertitudes instillés chez les élus minoritaire dans le but les discréditer. (D'ailleurs Bompard père a dit texto que si Gilles qui a la tête d'un bon sympathisant avait une attitude correcte avec lui il le mettrait volontiers au courant des projets) Et c'est le fils qui a attaqué serinant répétant avec application (ton d'un maitre grondant un demeuré) les arguments du papa. ( plusieurs fois dans le conseil le fils a eu la préséance sur tous - le père lui donnant la parole en priorité- pour faire le même genre d'intervention bête pour le plaisir qui n'apporte rien au débat mais cherche à briser -réputation, moral, estime) .
Le procédé de tritement des déchets assez novateur produirait par ultra-dessèchement des OMR, un résidu carboné pouvant servir de combustible. Plusieurs questions en plus des objections liées au lieu/nuissances/pollution/innondablilité/proximité d'habitants/enfants.
Combien consomme ce genre d'installation? quel est in fine "l'économie carbonée"/ "envirennementale" escomptée?
Qui achètera ou comment nous nous débarrasserons de ce combustible? Qui acceptera de bruler ce combustible fort susceptible d'émettre des polluants?
Il semblerait que les candidats pour ce combustible ne se bousculent pas au portillon. A tel point que dans un article du 7 décembre J Bompard envisageait de le bruler lui même sur site et ainsi de produire de l’électricité1. Remarquez donc bien que selon l'article , en décembre il dit je brulerai pour produire de l'électricité et en avril en conseil il nie cette possibilité...
Ah ben ça alors... Si on brule in fine ce combustible produit à grands frais qu'elle est donc l’intérêt entre l’incinération simple et le super nouveau procédé? Toucher une subventions? Échapper à l'impôt en entrant dans une case qui le permet mais s’avèrerait être une nouvelle chimère/ arnaque écologique? En sus faire de potentielles recettes en acceptant les déchets des interco alentours trop contente de cette prise en charge de proximité?
En attendant le miracle, (mais restons prudent si quelques élus ont des infos, loin s'en faut que tous soient bien au courant des réalités, même chez les élus majoritaires, car en Bompardie on pilote à vue), nous considérons que cette histoire de déchets semble s'engager dans une impasse avec la bénédictions d'autre institutions -préfecture, Région etc-, eux même coincés par le difficile dilemme des déchets. Une impasse dont le fil conducteur Bompardien est d'échapper à l’impôt TGAP (il l' a dit), quitte à doubler une taxe qu'il défendait à corps et à cri contre Alain Milon en 2014/2015. Une impasse qui plus est est un trompe œil qui nous garantie des nuisances à moins de 2k du cœur de ville. Et nous coutera encore au point de vue environnemental.
Alors sans solution? Pas tout à fait d'autres territoire ont bien réussit à réduire leurs déchets...Nous à Orange avons 25 ans de retards c'est l'effet Bompardien les mirages/mensonges Bompard dans lequel il a entrainé la pauvre interco très bonne élève en matière de déchets jusqu'en 2015, mais rien ne nous oblige à poursuivre une nouvelle chimère ou à croire sans sourciller les dire contradictoire, voire mensonger2 de la famille BOMPARD.
Les-dechets-à-orange-une-vraie-solution-ou-le-projet-fumeux-du-mandat.Lien vers une article de presse paru le 7 déc 2020
Yan Bompard a affirmé qu'avec un Taux de 7,65% de la TEOM avant son entrée dans la CCPRO forcé, Orange était bénéficiaire en terme de traitement de déchets. Ce qui est un mensonge qui avait en son temps été démontrer par A Millon qui réclamait 750 000€ pour combler le trou "déchets" d'Orange. Orange noyant le traitement des déchets dans son budget général pour une question électoraliste "se vanter de son taux bas", avait sous estimé généreusement ses coûts en transférant la compétence déchets à l'interco laissant plus de 55€ sur le dos de chaque contributeur des autres communes. Au cours de ce conseil nous avons appris que les déchets seront gérer dans un budgets séparer dès 2022 ce que jusque là Bompard refusait. C'est lui même qui avait demandé supprimer le budget déchets à la CCPRO...
Extrait Article de l'express 27/05/2002 Juste pour le fun "Idem pour l'usine d'incinération des ordures, gérée par un syndicat intercommunal, le Sitoro, fermé sur ordre du préfet parce qu'il n'était plus aux normes. «Comme il n'en a pas obtenu la présidence, il a tout fait pour retarder le dossier et démolir le syndicat», confirme Louis Driey, maire UMP de Piolenc et président de la communauté de communes Aygues-Ouvèze. Et les 13 cités concernées furent obligées de trouver d'autres solutions."