L'affichage à Orange est problématique. La solution du député- maire est manifestement inadaptée. Les associations orangeoises en feront encore une fois les frais.
Le tarif du chèque de caution pour l'affichage temporaire passe de 157 à 500 euros.
Un tarif pour enlèvement d'un affichage non autorisé est créé. 800 euros
Christine Badinier a demandé pour les affichages temporaires un allongement du temps d'affichage avant la manifestation et du temps imparti pour l'enlèvement des affiches après la manifestation.
A cette proposition simple et constructive aucune réponse.
A savoir:
- Lors d'un affichage temporaire vous avez une autorisation d'à peine une semaine avant la manifestation, et le lendemain vous devez enlever vos panneaux...
- Toute la ville est couverte de panneaux publicitaires payants mais il n'y a pas assez de panneaux libre expression. Huit en tout, très mal répartis
Les élus Aimer Ma Ville ont demandé par lettre déposée le jour du conseil que l'ensemble des quartiers de la ville soit équipé de panneaux libre expression et que le règlement soit respecté .
La plupart des quartiers sont dépourvus de panneaux d'affichages réglementaires pour l'affichage libre expression.
Tour de ville, en rouge quartiers sans panneau, en vert quartiers avec un panneau .
L'aygues, La Contadine, la Croix rouge, Le Lycée (deux panneaux), Jonquiers, l'Arais, Tanneurs, Queyradel, les Arennes, La Tour, Nogent (un panneau en face du collège Giono), le grenouillet, les Peyrieres blanches, le Peyron, le Grès, la Colline, l'Etang, les Sables, les chênes verts, le Coudoulet, les zones commerciales, la Zone industruielle, les Crémades, L'argensol un panneau route du Parc en face la clinique, la Deymarde, la Gare deux panneaux, les Veyrières, Royale, Cagnan, le Baron, le marquis, Portail lançon, Champlain, Fourchevielle un panneau à l'entrée du Gymnaste, la Violette. L'arc un panneau contre les vieux WC
Un autre problème est que les huit panneaux d'affichage existant réservés à l'affichage associatif et expression d'opinion sont recouverts en permanence par des entreprises à but lucratif, ce qui est interdit par arrêté du maire. Nous lui demandons donc aussi de faire respecter notre maigre espace d'expression.
Clic sur ce lien pour lire le courrier.
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