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Le dessus de la colline d'Orange a bien changé, en quatre ans. D'une végétation dense, souvent broussailleuse, envahissante nous voilà avec des espaces plus clairs, des soubassement de murs, des sentiers d'accès qui réapparaissent.
En quatre ans...c'est à dire depuis que certains particuliers bénévoles se sont relevés les manches... On est bien loin de rattraper les dégâts de ces 20 dernières années sur ce site exceptionnel.
La semaine dernière, 7-11 mars 2016, le parcours sportif qui a été rasé. (Les modules avaient été posés sous la municipalité LABE. Jamais entretenu le voilà disparu...
Espérons que des aménagements en remplacement seront réalisés rapidement.
Et puis à quand la réhabilitation du parcours botanique?
D'autre part le schéma directeur de la mise en valeur de la colline semble bien lent à véritablement progresser.
De ci de là on met à jour quelques soubassements mais ... cela ne ressemble pas à des travaux d'envergure .
Le schéma directeur1 de mise en valeur de la colline a été voté en janvier 2014, la veille de l'élection municipale. Dans son programme électoral l'équipe Bompardienne clamait : "ce sera le mandat de la colline".
Et deux ans déjà se sont écoulés...
Heureusement, les bénévoles tiennent la barre, le paysage change. La municipalité est au moins poussée à les soutenir dans leurs travaux de débroussaillement, notamment par l'abatage d'arbres. Certes avec bien peu de volonté et de moyens mais quand même ça fait plaisir.
Un schéma directeur avait été fait sous le mandat LABE.
1991, la calade de la monté Philibert de Châlon vient d'être refaite l'ensemble des sentiers et vestiges débrousaillés, une étude, des fouilles sont en cours.
2007, la montée Philibert de Châlon s'observe encore mais son accès vient d'être condamné, car non entetenue elle était devenue dangereuse. On devine les vestiges du Capitole qui disparaissent peu a peu sous les broussailles.
Printemps 2013, depuis plus d'un an déjà des bénévoles s'acharnent semaine après semaine à repousser les broussailles, la monté Philibert de Châlon est devenue quasi invisible. (Photo Christian Bernatto)
