Beaucoup a déjà été dit et écrit au sujet de l'affaire Canuti. Cette "affaire" orangeoise de plus, qui défraie à nouveau la chronique.
Malheureusement pour notre ville, il ne s'agit pas de ces projets ou évènements qui font la renommée et le rayonnement d'une ville, de ses habitants et de son territoire.
Non. A Orange le domaine de prédilection du pouvoir en place depuis bientôt 25 ans ce sont les affaires de justice, qu'elles soient civiles ou administratives, qu'il s'agisse de prise de pouvoir de l'un sur les autres, de prise illégale d'intérêt, aujourd'hui de violences faites aux femmes et peut-être demain de dénonciation d'abus de pouvoir sur personnel ! Qui sait ?
Il n’empêche.
Cela ne peut arriver lorsque d'honnêtes personnes sont au travail dans le seul intérêt de la mission qui leur a été confiée : le bien être des personnes et des entreprises, le respect de chacun, la renommée d'un territoire.
Si cela n'est pas à Orange, il n'y a qu'un seul responsable qui est à l'origine de toutes les dérives pour que l'on examine la situation : son maire.
Ce dernier est sorti de toutes organisations politiques qu'il a approché, se fâchent avec tout un chacun, bloque tous les dossiers, enterre Orange sous les affaires. Tout ceci étant fait le quidam, tel l'oisillon sortant du nid, la coquille d’œuf sur la tête, ne cesse de couiner "c'est pas moi, c'est les autres".
En couvrant un homme condamné pour destruction d'archives publiques et pour violence avec arme sur son ex-compagne et en prêtant à ce dernier toutes les vertus professionnelles alors même que des faits d'abus de pouvoir sont portés à sa connaissance, J.BOMPARD fait ce qu'il a toujours fait : mentir, manipuler, tricher.
Nos pensées se tournent vers les victimes offertes, les employé-e-s communaux et intercommunaux qui restent sous le joug de tels personnages. Au delà des immenses souffrances et de leurs conséquences qui n'ont même pas reçu la consolation d'une écoute, le maire n'est plus crédible. C'est l'ensemble de notre commune qui est entrainé dans le fond d'une immoralité devenu norme.