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25 février 2011 5 25 /02 /février /2011 10:37

Encore un domaine bien tendancieux à Orange le SPANC.

 

Qu’est ce que c’est ?

 

Il s’agit d’appliquer aux particuliers ne disposant pas de tout à l’égout sur une commune le principe d’intérêt général :  préservation de la qualité de l’eau de surface et souterraine par rapport à leurs propres rejets d’eau usée domestique dans le milieu naturel.

 

Selon le Code Général des Collectivités Territoriales (articles L 224-8 et 9 les communes pour les zones sans dispositif collectif d’assainissement (« tout à l’égout ») doivent mettre en place un Service Public d’Assainissement Non Collectif (SPANC) au plus tard pour le 1 janvier 2006.

 

 

Les techniciens du SPANC doivent fournir à tout propriétaire et /ou usager toutes les informations réglementaires et conseils techniques nécessaires pour le traitement des eaux usées.

Leurs actions consistent à contrôler les installations d’assainissement, aussi bien lors de constructions que pour l’existant (habitations anciennes).

La vérification porte sur la conformité du dispositif (norme DTU 64-1), mais aussi sur son entretien et son bon fonctionnement.

 

Pour ce contrôle et le suivi des éventuelles réhabilitations nécessaires, le technicien du SPANC réalise une fiche descriptive du dispositif ANC pour chaque usager comprenant notamment et surtout pour des installations anciennes les défauts, l’usure et la prescription de travaux hiérarchisés dans le temps. Il doit être également précisé aux propriétaires, lorsque la situation l’exige, que les travaux sont à effectuer dans les 4 ans.

Il y a obligation de respecter la loi. Cependant la situation est évolutive et au nom des futures prescriptions réglementaires, la mairie actuelle n’a pas jugé bon de presser le pas.

 

Aussi l’état des lieux de la commune pas encore fini toutes les installations n’ont pas été visitées aujourd’hui.

De fait les simples quidams que nous sommes nous interrogeons.

·        Nous voyons toujours des déversements d’eaux usées domestiques directs dans le milieu naturel.

·        Les fiches des contrôles déjà effectué et remises au propriètaires ne sont pas complettes. Il manque le volet prescription.

 En possession d’un diagnostic sans prescription de travaux les premiers habitants contrôlés jusque là sont déroutés. Ils se voient plus ou moins poussé à ne pas faire réaliser de travaux, ou ne pas se presser…

 

Ce décalage entre les premiers contrôles mandatés par la mairie et la loi pose question. Cf . Arrêté du 7 septembre 2009 relatif aux modalités de l’exécution de la mission de contrôle des installations d’assainissement non collectif Article 6 paru au JO 9 octobre 2009 (joint ci dessous)

Et la loi ne laisse que quatre ans après le premier contrôle pour réaliser si nécessaire la mise en conformité de l'installation. Dans le cas ou les propriétaires ne pallieraient pas aux défauts constatés de leur ANC, un procès verbal pourrait être dressé s'il y a pollution.

 

Nous condamnons l’attitude de la mairie que ne prend ses responsabilités et laisse des habitants dans l’interrogation sur leurs obligations

 

Pourtant les personnes privées effectuant des travaux d’assainissement peuvent solliciter une subvention de l’agence nationale pour l’amélioration de l’habitat (ANAH).

La commune peut elle également obtenir selon sa diligence à mettre en conformiter sa commune sur le plan des ANC une subvention de l’agence de l’eau .

 

Nous réaffirmons que des  points noir persistes sur notre commune au vu et su de tous, points pourtant classé prioritaire : des rejets d’effluents domestique à l’air libre. Ces cas au moins comportant des risques avérés, pour la santé et pour l’environnement, auraient mérité une attention et une réaction plus spécifique de la part du maire.

 

En conclusion :

Les enjeux de la préservation de l’eau dépassent largement les egos personnels. Il est dommage de ne pas associer tous les acteurs pour expliquer, accélérer sa mise en œuvre :élus - associations - usagers- entreprises. Une attitude responsable aurait été souhaitable: soit une vraie information  sur les enjeux, les obligations légales et un accompagnement technique de qualité.

Quitte à interpeller avec la population concernée, le législateur si l'on pense que les obligations de la loi ne sont pas adaptées à la configuration de certains ANC qui par ailleurs donnerait toute satisfaction par rapport à la préservation des milieux naturels.

Extrait du JO:

http://www.legifrance.gouv.fr/jopdf/common/jo_pdf.jsp?numJO=0&dateJO=20091009&numTexte=3&pageDebut=16473&pageFin=16476

 

Art. 6. − A la suite de sa mission de contrôle, la commune consigne les observations réalisées au cours de la visite dans un rapport de visite et évalue les risques pour la santé et les risques de pollution de l’environnement présentés par les installations existantes.

Ce rapport de visite constitue le document mentionné à l’article L. 1331-11-1 du code de la santé publique.

Celui-ci est adressé par la commune au propriétaire de l’immeuble.

La commune établit, dans le rapport de visite, si nécessaire :

a) Des recommandations à l’adresse du propriétaire sur l’accessibilité, l’entretien ou la nécessité de faire des modifications ;

b) En cas de risques sanitaires et environnementaux dûment constatés, la liste des travaux classés, le cas échéant, par ordre de priorité à réaliser par le propriétaire de l’installation dans les quatre ans à compter de la date de notification de la liste de travaux. Le maire peut raccourcir ce délai selon le degré d’importance durisque, en application de l’article L. 2212-2 du code général des collectivités territoriales.

Le propriétaire informe la commune des modifications réalisées à l’issue du contrôle.

La commune effectue une contre-visite pour vérifier la réalisation des travaux comprenant une vérification de conception et d’exécution dans les délais impartis, avant remblaiement.

 

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23 février 2011 3 23 /02 /février /2011 15:34

Le souci de préservation de la qualité des eaux de surface n’est pas celui de la ville d’Orange.

Le réseau d’eau pluvial de la ville récolte désherbants épandus pas des employés municipaux et surtout tous les jeudi détergeant, désinfectant pour nettoyer les places du marché hebdomadaire. Tout ces produits finissent directement dans la Meyne qui comme chacun le sait juste après Orange se jette dans le Rhône. Alors…alors pas de quoi fouetter un chat pour le maire qui a déjà déclaré qu’il trouvait exagèré d’obliger à la sortie de sa nouvelle station le rejet d’une eau "trop propre" puisque quelques centaines de mètres plus loin elle rejoignait l’eau polluée du Rhône.

 

Néanmoins, ce cours d’eau longe plusieurs habitations qui ne bénéficient pas d’un accès au réseau d’eau potable, et l’eau de leur puits n’est plus potable.

N’en déplaise à notre édile l’eau est un bien commun et il est plus facile et moins coûteux de ne pas la polluer que d’entreprendre sa dépollution.

 

Alors pourquoi tant de laissé aller ?

Pourtant des directives, des outils, des aides à la gestion de l’eau existent depuis bien longtemps.

Depuis les années 1970, la politique publique de l’eau s’inscrit dans un cadre européen. La qualité de l’eau a toujours été une préoccupation dans la politique de l’Union européenne

 

Aujourd’hui le SDAGE  - Schéma Directeur d'Aménagement et de Gestion des Eaux -  fixe pour 6 ans, jusqu'en 2015, les objectifs de qualité des rivières, lacs, eaux souterraines, littoral dans le bassin.

Le SDAGE a clairement affiché une politique de prévention pour éviter les solutions curatives (traitements de l’eau, problème de santé publique). Il est opposable juridiquement.

 

La DCE -la directive cadre sur l’eau-  fixe des objectifs pour la préservation et la restauration de l’état des eaux superficielles (eaux douces et eaux côtières) et pour les eaux souterraines. L’objectif général est d’atteindre d’ici à 2015 le bon état des différents milieux sur tout le territoire européen.

  

D’autre part pour atteindre le bon état des eaux, l’Agence de l’eau Rhône-Méditerranée et Corse, établissement public de l’Etat, incite et aide, à l’échelle de ses bassins versants, à une utilisation rationnelle des ressources en eau, à la lutte contre leur pollution et à la protection des milieux aquatiques.

 

A Orange serions nous hors jeu, hors du temps, hors règlements. Après nous le déluge n’est pourtant plus à la mode et l’attitude de notre maire nous étonnera toujours. N’a-t-il pas écrit dans son jeune temps des livres sur l’écologie?  Etaient-ils pour lui une erreur de jeunesse ? A-t-il changé son fusil d’épaule pour mieux être écouté et arriver à ses fins ?

 

 

Pour nous il est urgent de cesser des pratiques identifiées comme désastreuses pour la qualité de nos eaux de surface: Nettoyages avec des produits polluants les rues de la ville.

Il nous faut installer dés à présent des bacs filtrants les polluants sur le réseau d’eau pluvial.

Afin de prévenir tout risque accidentel de pollution, toute pollution par lessivage des chaussées.

 Les points de remplissage des cuves pour les traitements agricoles en rase campagne eux en sont bien pourvus !

Remarquons au passage que la plupart des bassins de rétention communal ou dans les lotissements sont construits sans aucun dispositif pour empêcher l’infiltration des polluants, graisses, hydrocarbures lessivés en cas de pluie…

 

Quand donc monsieur le maire avec le costume endosserez vous aussi la responsabilité de votre fonction ?

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20 février 2011 7 20 /02 /février /2011 11:07

M. Georges OLIVARI, directeur de la maison régionale de l'eau a fait hier à Jonquières une conférence remarquable sur la pollution de l'eau par les pesticides et ses conséquences sur la santé. Conférence suivie d’un débat riche et instructif.

Nous y avons assisté car nous sommes sensibles à ces questions de l’eau et sa gestion d’une part, mais aussi nous sommes impliqués dans les cantonales.

Nous remercions le conférencier, les Jonquièroises, Jonquièrois et l’association Idées Jonquière pour cette réunion réussie et très riche.

 

La réunion a débuté par une explication du contexte et du site de pompage puis il y eut l'exposé du scientifique, enfin un débat a permis de faire ressortir des problématiques.

L’exposé - très clair et sans appel - cernait bien les soucis et donnait des pistes pour la prévention, pour retrouver et conserver une eau de qualité, ainsi que des conseils de bon sens sur les fréquences des analyses.

 

Tous nous sommes révoltés sur les normes qui sont établies sans fondement scientifique.

« Dans les produits phytosanitaire 1 plus 1 ne fait pas deux, a martelé le scientifique, les synergies sont inconnues »…Le comportement des pesticides épandus n’est bien pas connu, voire pas du tout. Fixés sur les particules minérales du sol, les pesticides, les produits de dégradation de la molécule d’origine, les co-formulants ont une toxicité non négligeable voire plus importantes que la molécule originelle. Les stocks souterrains accumulés depuis des années sont inconnus. Les relargages dans le milieu naturel qui peuvent durer plusieurs décennies sont difficilement prévisibles et leur déclenchement imprévisible. Il est possible que sous l’action de pluie acide des particules toxiques arrivent jusqu’aux nappes d’eau. Pas de certitude pour l’avenir. Pas de courbe cinétique d’élimination.

Nous avons relevé l’ineptie de la solution envisagée par le préfet : mettre en réseau les villes et villages afin de diluer l’eau distribuée jusqu'à une « norme légale » (La Provence du 21 Janvier 2011) Ce n’est pas acceptable.

Nous avons fait émerger  une réalité de terrain évidente : programmation rapide(non encore obligatoire mais de bon sens) d’analyses post pluies et orages.

 

Il apparaît clairement que la situation est pour longtemps incontrôlable et que nous sommes seuls à devoir en subir les conséquences et les surcoûts. Les fabricants de produits quant à eux s’en lavent les mains, bien protégés dans un écrin juridico-légal injuste.

Il est sûr que les paysans subissent comme le reste de la population et sans doute encore plus chèrement la toxicité des produits qu’ils ont employés.

Une solution envisagée hier soir passait par la régie publique de l’eau. Les exemples les plus concrets sont ceux cités par le scientifique. Soit : la ville de Munich confrontée à ce même souci il y a vingt ans, a aujourd’hui une eau de qualité sans avoir recours à des traitements ou filtres dispendieux. La municipalité a tout simplement tourné le dos aux conséquences pour s’attaquer aux causes. Elle a acheté les terrains environnants sur plusieurs hectares puis a subventionné les agriculteurs des zones alentour pour passer en agriculture bio. En 20 ans le problème a disparu. D’ailleurs n’est-ce pas ainsi que procède Vittel pour préserver son eau et ce depuis longtemps ? Mais oui les solutions existent il faut juste arrêter de dire : "on n’y peut rien" et le vouloir. 

 

Et pour l’eau d’Orange, quelles sont donc les mesures toutes simples et pleines de bon sens à prendre ? A quelle fréquence sont faites les analyses ? Ou sont consultables les résultats ?

Nous avons dans le n° de février 2011 de la revue municipale des déclarations rassurantes mais pas de publication de résultats, pas de précision sur la fréquence des analyses, ni la liste des polluants recherchés…

 

Le captage se trouve en bordure de l’Aigues près de la passerelle au nord de la rivière.

Y a-t-il des analyses effectuées en cas de crue de l’Aigues ?

Pas seulement lorsqu'elle déborde, mais lorsqu'elle est très grosse après les orages.



 

En face, de l’autre coté de la nationale 7, une ancienne zone d’activité où l’eau n’est pas potable selon un riverain qui va même pour son jardin chercher de l'eau avec une cuve ! Plus bas, cent hectares voués dans le nouveau PLU à être transformés en carrière après décroutage sur six mètres de terres arables. Le plafond de la nappe phréatique sera crevé !  D’où pollution assurée de l’eau souterraine. Est-ce compatible avec le SDAGE, le PADD ? Plus haut mais pas très loin, à l’entrée d’Orange, à gauche, une casse… Enfin est-ce raisonnable, tout cela ?   

Nous aimerions tant avoir des certitudes pour aujourd’hui et pour demain !

 

 

http://ideesjonquieres.over-blog.com/

 

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 14:05

L'ancienne station d'épuration d’Orange n’était plus efficace. L’équipe de l’ancien Maire  M. Alain Labe, avait déjà projeté de la remplacer. Il aura fallu près de 15 ans à notre actuelle majorité municipale pour construire une nouvelle station… mise en service : février 2009.

Pour un investissement de 10 millions d'euros et une capacité de 45000 Orangeois, ce site dédié à l'épuration d'eau reste le même.

Cette réfection de la station d'épuration nouvelle génération aurait pu être pensé différemment.

Orange Autrement avait proposé de l’inclure au sein d'un Écosite. Ceci pour répondre à plusieurs objectifs – développement durable, de l’économie, de la recherche, de la formation…

 

Qu’est-ce qu’un Écosite ? [1]

C’est à partir d’une station d’épuration qu’est né le premier Écosite. L’Écosite de Mèze assure l’épuration des eaux des collectivités locales par le lagunage, protégeant l’Etang de Thau pour la conchyliculture et la baignade. Aujourd’hui, l’Écosite de Mèze c’est 80 000 visiteurs par an, 150 emplois créés, 150 stagiaires par an en formation, 20 ingénieurs et 10 entreprises.


 Vous l’avez compris un Écosite allie la création d’un pôle d’entreprises (PME, PMI, TPE) liées au développement durable (énergies renouvelables : solaire, photovoltaïque, éoliennes, isolation, problèmes de gestion de l’eau…), la recherche et la formation (d’artisans et de techniciens).

 

Un tel projet à Orange était pertinent.

C’est un secteur d’avenir insuffisamment développé en Provence. Le site d’Orange est remarquablement bien placé (nœud de communication, vent, soleil, ...)

 Ce projet  aurait pu être dimensionné au sein d’une intercommunalité et donc aurait aussi contribué à sortir Orange de son isolement.

 

Economiquement et écologiquement Orange n’est pas encore à la hauteur de nos espoirs.  

 

[1] LES FONCTIONS D'UN ECOSITE : Contribution à la protection de l'environnement et du patrimoine - Recherche - Contribution au développement d'emplois locaux et au développement technologique - Mise en œuvre d'actions pédagogiques - Communication et animation locale - Coordination des politiques de développement durable. Pour en savoir plus sur les éco sites en France et En Europe: http://www.ecosites.net/daber.php3?id=cn57iyjk8wt7oad6ni7o&init=1

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Culture à Orange

Association "Ben Lèu"

Cours de Provençal pour adulte, pour débutant.

Pour ceux qui n'y connaissent rien!  

Calendreta .

mardi 18h00-19h30.

Contact 04 90 34 94 47

 

Chorégies 

 

AGORA
16 Rue reine Wilhelmine 84100 Orange 04 90 51 71 18

http://www.agorange.net/


THEATRE DU SABLIER

37, Crs Aristide Briand à Orange

Tel 04 90 51 14 03

Ateliers et Week end de théatre, danse, écriture, peinture. Spectacles

http://www.theatredusablier.com/


Le Café Littéraire

Association  Culturelle

Soirée autour d'un livre ...

Le site du café littéraire

  

Ciné  Forum
Impasse du parlement 84100 Orange

Librairie Elan Sud

Rue de Rome(ancienne rue des Phocéen)  lien 

Association ELU
pour les amoureux du livre
http://elansudeditions.over-blog.org

 

Orange Bleue Librairie

Lectures, débats, expos, signatures

http://www.orangebleue-librairie.com

 

  L’écran Magique.