Décidément l'histoire1 de la tribune libre de la minorité aura émaillé la totalité du mandat.
Le maire d'Orange lors du conseil du 24 septembre 2019 a fait modifier le règlement intérieur spécialement pour priver les élus des minorités en ce temps de campagne de la toute petite visibilité qu'ils avaient arraché à grand peine dans la revue municipale.
Les élues AIMER MA VILLE ont décidé de saisir la préfecture, mais pas le tribunal puisque les élections seront largement dépassé le temps que la" justice" de notre pays se mettent en branle.
La première version de cette nouvelle censure supprimait carrément la revue municipale durant le temps électoral. du 1 er septembre au 23 mars 2020 . Elle réservait le même sort à la tribune libre des minorités sur le site municipal à l'aulne des déclarations politicienne du maire à travers l'onglet ré-information mise sous le boisseau temporairement. En effet on avait remarqué depuis le 2 septembre que de nombreuses communications du maire, réinformations, communiqués de presse qui salissaient allègrement des élus minoritaires avaient disparu du site municipal . Nous apprenons qu'ils sont donc suspendus. Sage précaution dicté par une plainte imminente pour diffamation dont le maire a été prévenu...
Bref...
La seconde version du texte censurant les tribunes des minorités revient sur cette suppression de la revue municipale mais pas sur celle les tribunes des minorités...
Parait qu'il a eu pitié des élus minoritaires. Selon lui éclatés en plusieurs groupes ils n'auraient pas su se partager la parole, s'est-il moqué en conseil municipal le 24 septembre 2019.
MAIS de quoi a peur ce minus de trois phrases sur son canard?
On ne sait jamais quoi si elle réveillait trois quidam c'est ça que tu te dis guignol pas bien fier de ton boulot pour t'abaisser à une si mesquine chose.
"La démocratie régresse si on ne s'en sert pas" Daniel IBANEZ
Merci a tous ceux qui rejoindrons notre groupe ou un autre dans ce combat.
1 Histoire qui nous a demandé trois procès, deux de gagné, mais nous a couté du temps et des € puisque le TA nous avait condamné aux dépend de 1000€ pour procédure non appropriée. Condamné la mairie à 1100€ mais nous en avons été pour nos sous au dernier même si nous l'avons gagné rien pour nous défrayer des frais d'avocat.
Le premier RI en avril 2014 rien de fixé
27 juin 2014 un avenant au RI réduit à 71 signe par personne soit un demi tweet!!!
24 mai le TA ordonne de changer le RI dès le prochain conseil municipal,condamne le maire à 1100€
Cet ordre est ignoré du maire
27 Juin 2016 conseil municipal le maire ignore superbement la demande du juge.
Le groupe aimer ma ville saisit le préfet, lequel dans le jugement était nommément cité pour s'assurer de l'application du jugement.
26 août au matin conseil exceptionnel, la préfecture veille et l'écrit aux élus Aime Ma Ville. De fait la question de la tribune libre est enfin dans l'ordre du jour.
Le règlement intérieur est modifié. le maire déclare une demi page pour vous une demi pour nous.
26 août après midi, les élus reçoivent une demande du service communication, pour leur tribune libre d'octobre leur donnant 680 caractères par élus.
21 octobre, message du service communication, plus que 499 caractères par élus...
4 janvier 2017 censure du texte pour la revue de février
Procédure en référé urgence le TA juge que ce n'est pas une urgence alléguant qu'on avait qu'a la publier en avril ben voyons et la censure perdure?, et nous condamne à 1000€
12 février 2019 le TA nous donne raison le maire doit publier ....
MAIS 12 Février 2019 le temps de la justice est bien trop long!
et là ben censure totale....plus le temps pas de temps à perdre Le TA est une justice pour ceux qui ont du temps et du fric.
Entre temps les tribunes ont souffert de quolibet de reduction de place de couleurs illisibles etc en toute impunité. Du reste plus aucun panneau d'affichae libre n'est respecter
Alors Pays des droit de l'homme mon œil: Pays du fric et du plus truand